Mitsubishi, le constructeur automobile japonais, n’arrive pas à se défaire de sa gueule de bois depuis mardi dernier, et les aveux du groupe pour avoir manipulé des tests dans le but d’améliorer les performances énergétiques de plusieurs véhicules vendus au Japon. L’action a plongé de plus de 13% ce vendredi à la Bourse de Tokyo. Une chute qui se transforme par une descente aux enfers de 40% en seulement trois jours. Soit près de 3 milliards d’euros de capitalisation envolés.
Standard & Poor’s (S&P) a placé sous surveillance négative la note de la dette à long terme du groupe - « BB+ » actuellement -, menaçant de la dégrader dans un avenir proche. Cette affaire de falsification de données « va probablement se traduire par un déclin des ventes » et aboutir à « une dégradation de la performance commerciale et du profil financier de la compagnie au cours des deux prochaines années », explique S&P. ...
En poursuivant votre navigation sur notre site internet, vous acceptez que des cookies soient placés sur votre terminal. Ces cookies sont utilisés pour faciliter votre navigation, vous proposer des offres adaptées et permettre l'élaboration de statistiques. Pour obtenir plus d'informations sur les cookies, vous pouvez consulter notre Notice légale