Mercredi, le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, dirigera un Conseil de gouvernement axé sur des décrets cruciaux, dont la création d'un institut de formation en élevage et des modifications dans le statut des fonctionnaires pénitentiaires. Une séance qui souligne l'importance des décisions à venir pour le développement et l'innovation dans différents secteurs.

Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, présidera mercredi un Conseil de gouvernement, marqué par l'examen de quatre projets de décrets clés, annonce un communiqué du Département du chef du gouvernement.
Le premier projet de décret à l'ordre du jour concerne la création et l'organisation de l'Institut de formation dans les métiers de l'élevage à Bellouta, illustrant l'engagement envers le développement des compétences dans le secteur de l'élevage.

Le deuxième projet de décret proposé modifie et complète le décret portant statut particulier des fonctionnaires de l'administration pénitentiaire et de réinsertion, indique le communiqué. Cette modification pourrait potentiellement apporter des changements significatifs dans la gestion de ces institutions cruciales.

En parallèle, les troisième et quatrième projets de décrets sont consacrés au renouvellement de la licence accordée aux sociétés "European Datacomm Maghreb SA" et "Soremar SARL". Ces renouvellements visent à établir et exploiter un réseau public de télécommunication par satellites de type GMPCS, soulignant l'importance des communications modernes.

À la fin de cette séance, le Conseil de gouvernement abordera des propositions de nomination à des fonctions supérieures, en accord avec les dispositions de l’article 92 de la Constitution, selon le communiqué. Ces nominations pourraient avoir des implications significatives sur la direction et la gestion des organes gouvernementaux.

Ce Conseil de gouvernement revêt donc une importance particulière, mettant en avant la volonté du gouvernement de prendre des mesures cruciales pour stimuler le développement et l'innovation dans divers secteurs. Les décisions qui en découleront auront des répercussions sur la gouvernance, les compétences professionnelles et les infrastructures de communication du pays.