La musique gnaoui est le fruit de l’esclavage. Peu considérée, voire méprisée, cette musique a fait le tour du monde grâce à lui. Essaouira est un écrin idéal pour la fusion, une ville où les artistes étrangers donnent et reçoivent des maîtres gnawa (le maâlem). L’impact du festival va au-delà de la reconnaissance internationale. Nous avons rencontré le musicien Loy Erhlich qui a été 12 années durant directeur artistique du festival et le pianiste congaulois Ray Lema, un habitué des lieux.
Avec: RFI
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