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Au Royaume-Uni, psychose après de mystérieuses injections en boîtes de nuit

Une boîte de nuit à Londres. Olivia Harris/Reuters

RÉCIT - Plusieurs dizaines de jeunes étudiantes ont été droguées à leur insu dans le cadre d’une série d’incidents impliquant des injections avec aiguille.

Il y a quelques jours, un appel au boycott des bars et boîtes de nuit dans une cinquantaine de villes du Royaume-Uni a été lancé. La réaction à une vague de témoignages de jeunes étudiantes droguées à leur insu par des injections dans des discothèques. Une dangereuse et nouvelle «épidémie» qui a mis le pays en émoi et la police sur les dents.

Comme celui de Sarah Buckle, tous les récits sont tous glaçants. Étudiante en management à l’université de Nottingham, la jeune fille de 19 ans se réveille un matin d’automne dans une chambre d’hôpital avec un «grand trou noir» sur ce qui lui est arrivé la nuit précédente. Elle se souvient juste s’être rendue dans un club du centre-ville avec des amis. Puis, elle s’est effondrée. Les médecins estiment qu’elle a été droguée et ont remarqué une petite piqûre d’épingle sur sa main. À Nottingham, deux hommes ont été arrêtés pour «suspicion de complot en vue d’administrer du poison» dans le cadre d’une série d’incidents impliquant des injections avec aiguille

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Au Royaume-Uni, psychose après de mystérieuses injections en boîtes de nuit

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39 commentaires
  • Anonyme

    le

    Une injection Pfizer peut-être ?

  • Lesyeuxgrandouvert

    le

    Devinez s'ou ca vient ?

  • Pikendorf

    le

    Et si elles s'interrogeaient sur ces endroits où elles mettent les pieds et qu'elles les mettent ailleurs avec d'autres personnes ?

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