Une relation sexuelle tourne au cauchemar lorsque l’homme décide d’arracher l’oeil de sa partenaire

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Une relation sexuelle tourne au cauchemar lorsque l’homme décide d’arracher l’oeil de sa partenairePixabay

C'est une bien sombre affaire qui a bouleversé la ville de Dijon. Après une violente dispute, un homme de 45 ans a arraché l'œil de sa collègue "à mains nues".

Il y a quelque temps, la ville de Dijon était bouleversée par une sombre affaire. Une histoire choquante digne des plus grands films d’horreur. Lors d’une fraîche soirée de novembre, un vendredi 13 pour être plus précis, une violente dispute a éclaté entre deux salariés des pompes funèbres situées près du cimetière de Péjoces. Un homme âgé de 45 ans aurait perdu pied et céder à une pulsion morbide. En colère, il n’aurait pas résisté à l’envie d’arracher l’œil de sa collègue « à mains nues » rapporte le journal de Saône-et-Loire. La jeune femme aurait ensuite été transportée d’urgence au CHU le plus proche. Les intervenants auraient d’ailleurs été dans l’obligation d’enfoncer la porte pour pouvoir l’emporter.

D’après les sources de nos confrères, l’agresseur et la victime avaient prévu de pratiquer un rite satanique tout en ayant une relation sexuelle. Le but était de donner le pouvoir à l’homme qui aurait eu l’opportunité de soumettre sa partenaire. À l’époque, l’employé des pompes funèbres avait été arrêté puis placé derrière les barreaux. Éric Mathais, procureur de la République de Dijon avait évoqué les chefs d’accusation qui pesaient contre l’homme de 45 ans. À savoir, « tentative de meurtre, d’actes de torture et de barbarie ayant entraîné une infirmité permanente », expliquait le Bien Public.

Une terrible affaire qui a choqué les Dijonnais et Dijonnaises. À ce jour, aucune nouvelle ne semble avoir été donnée quant à l’état de santé de la jeune femme qui a perdu son œil. De son côté, le salarié est sans doute toujours derrière les barreaux. Une chose est sûre, c’est que les habitants de la ville se souviendront toujours de cette triste affaire.

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