C’est peut-être le début de la fin d’un long feuilleton judiciaire pour Jacob Zuma. L’ancien président sud-africain comparaît devant la justice, lundi 17 mai, pour 16 chefs d’accusation dont celui de corruption. Il est soupçonné d’avoir touché plus de quatre millions de rands (soit 235 000 euros au taux actuel) de pots de vin en 1999, dans le cadre d’un contrat d’armement de près de 3 milliards d’euros passé avec le géant français Thales, lui aussi sur le banc des accusés.
L’ancien chef d’État (2009-2018) devra également répondre des chefs d’accusation d’extorsion et de blanchiment d’argent, pour des faits remontant à 1999, lorsqu’il était encore vice-président, quand le géant français d l'armement a emporté un contrat pour l'équipement d'avions et de navires militaires.
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