De récents travaux américains visant à comprendre les mécanismes de la propagation du cancer de l’ovaire viennent pour la première fois de mettre en évidence des liens étroits entre plaquettes sanguines et cellules tumorales.
Mieux comprendre le développement du cancer de l’ovaire. Tel est le but de travaux américains de l’université du Texas récemment publiés dans la revue Science Advances. Ceux-ci mettent en effet pour la première fois en évidence des interactions importantes entre les cellules tumorales ovariennes et certaines cellules du sang, les plaquettes, celles impliquées dans la coagulation du sang et la formation de caillots.