Des enzymes présents dans la salive de larves peuvent dégrader rapidement l'une des matières plastiques les plus utilisées dans le monde, ouvrant une piste de lutte contre cette forme de pollution, selon une étude publiée mardi.
Sur les 400 millions de tonnes de matières plastiques produites chaque année selon les estimations de l'OCDE, un tiers environ sont des polyéthylènes. Issus de la pétrochimie, simples et peu chers à fabriquer ils sont notamment très utilisés pour les emballages.