Les autorités ont cependant annoncé que les 370.000 domestiques travaillant à Hongkong, pour l'essentiel des Philippines et des Indonésiennes, devront subir un deuxième test de dépistage au Covid-19 après un premier test qui devait avoir été effectué au 9 mai. Selon le projet controversé, ces employées, appelées «helpers» ou assistantes, faiblement rémunérées, devaient prouver avoir reçu deux doses de vaccin pour faire une demande de visa de travail ou changer d'employeur.