EasyJet traverse une zone de turbulence. Hier, jeudi, la compagnie anglaise low-cost a reconnu avoir reçu une offre de rachat non sollicitée qu'elle a refusée. Une décision prise à l'unanimité par ses administrateurs. « Cette proposition sous-évaluait la compagnie », affirme dans un communiqué EasyJet, qui a refusé d'indiquer qui était à l'origine de cette offensive.
Ce premier mouvement devrait aussi être le dernier : après ce refus, le prédateur éventuel a tourné la page.