Dans un élan de reprise post-crise sanitaire, Royal Air Maroc remet en service sa ligne aérienne directe entre Casablanca et Sao Paulo dès le 7 décembre 2024. Les vols, opérés trois fois par semaine, relient ces deux pôles économiques majeurs, facilitant ainsi les échanges entre l'Afrique et l'Amérique Latine.
Les départs de Casablanca sont programmés les lundis, jeudis et samedis à 16H40, arrivant à Sao Paulo à 22H20. Les retours de Sao Paulo, prévus les mardis, vendredis et dimanches à 00H20, atterriront à Casablanca à 13H15. Ces liaisons seront assurées par des Boeing 787 Dreamliner, synonymes de confort avancé et d'efficience énergétique, réduisant ainsi l'empreinte carbone du transport aérien.
Hamid Addou, Président Directeur Général de Royal Air Maroc, exprime son enthousiasme : « La reprise de notre vol direct Casablanca-Sao Paulo, suspendu depuis la crise sanitaire, s'inscrit dans notre stratégie de développement long-courrier et réaffirme notre présence en Amérique Latine. Cette liaison aérienne va non seulement faciliter les voyages d'affaires et touristiques entre les deux continents mais aussi répondre à la demande croissante de voyages combinés entre l'Europe, l'Afrique et l'Amérique Latine. »
Cette route aérienne n'est pas seulement un lien entre deux villes mais aussi une passerelle pour des relations diplomatiques et économiques plus fortes entre le Maroc et le Brésil. De plus, elle jouera un rôle crucial dans la connectivité lors de grands événements internationaux, notamment la Coupe du Monde de football 2030, co-organisée par le Maroc, l'Espagne et le Portugal. Cela permettra aux passionnés de football brésiliens de voyager aisément à travers les pays hôtes via le hub casablancais.
Les billets pour ces vols seront mis en vente à partir du 12 juin sur le site de Royal Air Maroc, ainsi que via ses centres d'appel, ses agences commerciales et le réseau des agences de voyages. Cette relance est une aubaine pour les voyageurs en quête de confort et d'efficacité dans leurs déplacements internationaux.
