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Le cinéma marocain : Les réalisateurs locaux mettent le feu aux poudres

Par Lesinfos -le

Le cinéma marocain : Les réalisateurs locaux mettent le feu aux poudres
Le cinéma marocain vient de faire une entrée fracassante dans l’histoire du Festival du film pour la jeunesse d’Hurghada. Trois récompenses, c’est le joli butin ramené par nos cinéastes préférés.

L’esclave, le film qui défraye la chronique

Le long-métrage d’Abdelilah El Jaouhari, "L’esclave", a littéralement mis K.O. le jury. Après avoir raflé un prix à Kazan, c’est à Hurghada qu’il a décroché la médaille d’argent. Un sujet sérieux, celui du travail et de ses dérives, traité avec une telle maestria que même les plus réfractaires au cinéma d’auteur ont été conquis.

 

Saad Mouaffak, le nouveau visage du cinéma marocain

Et ce n’est pas tout ! Saad Mouaffak, pour son rôle dans "L’esclave", a été sacré meilleur acteur. Un prix amplement mérité pour une performance qui restera dans les annales. Le jeune acteur est en passe de devenir la nouvelle coqueluche du cinéma marocain.

 

Ayyur (Lune), le court-métrage qui brille plus que le soleil

Du côté des courts-métrages, c’est "Ayyur" de Zineb Wakrim qui a raflé la mise. Un film poétique et touchant sur deux adolescents atteints d’une maladie rare. Un sujet original qui a séduit le jury et qui prouve une fois de plus que le cinéma marocain n’a pas fini de nous surprendre.

 

Le Maroc, terre de cinéastes talentueux

Avec ces trois récompenses, c’est tout le cinéma marocain qui est à l’honneur. Les réalisateurs marocains montrent une nouvelle fois qu’ils ont du talent à revendre et qu’ils sont capables de rivaliser avec les plus grands.


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